Dustlight - dust in a ray of light. Apparition soudaine de particules de poussière dans un rayon de soleil. Révélées par la lumière, des particules en suspension se déplacent lentement, invitant à la rêverie, avant de disparaitre dans l’ombre. La nouvelle suite de peintures de Stephen Peirce, Dustlight, fait suite aux séries Not to Scale (2013) et Trans (2018). C’est une étape décisive dans l’oeuvre du peintre anglais qui synthétise vingt années de création dans un équilibre qui force l’admiration. En lien direct avec la toute première série de l’artiste, présentée en 2003 à la Royal Academy of Art à Londres, Dustlight montre des ensembles organiques qui semblent proliférer lentement et indéfiniment malgré - ou avec - la décomposition qui les attaque en de multiples endroits. Telle une plante qui apparait, pousse, puis s’abîme, meurt et se décompose, favorisant alors un nouveau cycle…